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  • Mai 26, 2014
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Consultants web : osez le portage salarial pour plus de liberté

Consultant web, digital, multimédia, IT, numérique, internet etc. : tant de termes pour désigner les très porteurs métiers du web dans une France qui, selon la plus récente mesure des équipements multimédias de Médiamétrie, compte désormais 43,2 millions d’internautes, soit 4,8% de hausse en un an : ce taux d’équipement n’est pas sans conséquence s’agissant des compétences web recherchées pour l’accompagner. Enquête sur un secteur porteur…

consultant web en portage salarial

Métiers du web vous avez dit ?

Comme l’illustre particulièrement bien un site du Ministère de l’Enseignement Supérieur et de la Recherche, les métiers du web, ce ne sont pas moins d’une quarantaine de métiers phares que l’on peut regrouper dans sept grandes familles de fonctions que sont :

  • la programmation et le développement : architecte web, développeur web ou web mobile, webdesigner, gestionnaire de base de données, développeur / animateur Flash etc.
  • la production et la gestion de contenu : documentaliste, consultant SMO, illustrateur 3D, consultant en référencement naturel etc.
  • les interfaces et créations numériques : ergonome web, directeur artistique web, designer d’interaction, designer sonore etc.
  • les infrastructures et réseaux : ingénieur réseaux, consultant IT, forgeur numérique, expert en sécurité informatique etc.
  • la formation et l’assistance : animateur multimédia, chef de projet e-formation, formateur TIC, spécialiste de l’accessibilité numérique etc.
  • la conception et la gestion de projet : chef de projet e-CRM, consultant en maîtrise d’ouvrage web, architecte de l’information, chargé de production vidéo etc.
  • la communication et le marketing : community manager, assistant vidéoludique, gestionnaire des médias sociaux, acheteur d’espaces publicitaires web etc.

Plus simplement, cette catégorie hétérogène regroupe en réalité tous les métiers qui permettent le développement et la maintenance des sites et applications webs. Ils permettent surtout aux personnes qui les exercent de vivre une passion de l’informatique, ce qui contraste cruellement avec le sondage de l’institut IFOP paru dans le Journal du dimanche et qui souligne que pour 56% des français, le travail est d’abord une « contrainte nécessaire pour subvenir à ses besoins » !

Vivre professionnellement une passion donc, mais pour quelles perspectives d’emploi ?

Le marché français de l’emploi des métiers du web : des profils experts particulièrement courtisés

L’enquête « Besoins en Main-d’œuvre 2014 » du Pole Emploi révèle que les postes de cadres informatiques font partie des 10 les plus recherchés. Elle révèle aussi que pour 64,5% d’entre eux, ils rassemblent des « projets considérés comme problématiques par les employeurs » : c’est dire que ce sont des profils d’experts qui sont recherchés et que les recruteurs s’arrachent, justifiant en cela l’existence de cabinets de recrutement très spécialisés.

D’après le syndicat Syntec numérique représentant 1200 sociétés et 80% du chiffre d’affaires de la profession, il y aurait « 35 000 recrutements attendus en 2014 », avec « plus de 93% des offres » en CDI ! Et à en croire l’étude d’un cabinet, ces experts IT pourront d’ailleurs « prétendre à une hausse de 20% de leur rémunération ».

Marché porteur, demande forte, qualification requise, valeur ajoutée certaine : logique dans ce contexte que selon un baromètre de l’institut BVA, trois français sur quatre soient en faveur de l’enseignement de la programmation informatique dans les cursus scolaires de leur progéniture.

Rançon de la gloire ou pas, les acteurs du numérique souffrent néanmoins d’un turn-over certain. « Sous la pression du numérique qui s’immisce dans notre vie de tous les jours », il y a, pour cette population très courtisée des experts informatiques, comme la recherche d’un parfum de « liberté », une volonté de travailler davantage « en mode projet »,  « en mode itinérant » et de manière « tout à fait transparente », comme l’exprime si bien le directeur délégué à la stratégie des contenus d’orange, David Lacombled.

Il suffit pour encore mieux le concevoir d’avoir en tête que ce secteur des métiers du web est, pour 27,1%, composé de jeunes de moins de 30 ans, et donc de cette fameuse « génération Y ». Qui croira à une coïncidence si les Américains, au sujet de cette population, parle de « digital natives » ?

Le portage salarial, solution sur-mesure pour le consultant web

Compte tenu de ce que le numérique est en mutation permanente, faire le choix du travail porté, c’est s’offrir la possibilité de tester son projet professionnel, de définir son marché, d’explorer de nouvelles opportunités d’emploi en encore de tester ses capacités à entreprendre avec une prise de risque tout à fait maîtrisée.

Car si cette forme d’emploi innovante a su séduire les professionnels du web, au-delà de l’autonomie et de la flexibilité qu’elle leur apporte, c’est aussi en raison des nombreux avantages qu’offre le contrat de travail dont tout travailleur porté est titulaire : cotisation à l’assurance chômage ainsi qu’aux régimes de retraites des salariés, bulletins de paie, prise en charge de toute la gestion administrative.

Être salarié et son propre patron à la fois : au fond, n’est-ce pas là la véritable solution entrepreneuriale pour les acteurs du web ? Vous trouverez ici les principaux métiers qui sont exercés par les consultants web en portage salarial.

Et si comme eux vous voulez goûter à l’entrepreneuriat en limitant les risques,  n’attendez plus : osez le portage salarial !

par le .

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